vendredi 24 décembre 2010

Excellentes fêtes de fin d'année !

Je forme le voeu pour vous et vos proches d'une fin d'année joyeuse et d'une année 2011 heureuse !

A très vite !

Un budget ambitieux, un budget " bouclier social " ...

Le premier budget de la nouvelle mandature a été adopté ce 16 décembre par 140 voix contre 66. Doté de 4,632 milliards d’euros, il est légèrement inférieur au budget prévisionnel 2010 (4,67 milliards d’euros). Dans un contexte de crise et de stagnation des recettes, il reflète néanmoins la volonté du conseil régional de respecter ses engagements ; à savoir, rester présent auprès de tous les Franciliens. C’est pourquoi, il a choisi de ne pas peser sur la fiscalité des ménages : pour la 5e année consécutive les impôts n’augmenteront pas en 2011.

Les recettes permanentes (hors emprunts) devraient 3,725 milliards, grâce notamment au fonds de compensation de la TVA. Pour équilibrer son budget, la Région emprunterait 907 millions d'euros en 2011, contre 990 cette année, soit un recul de 8,1%.

Un impératif : mettre en œuvre le bouclier social
La Région reste très présente sur ses compétences historiques : elle consacre cette année 30 % de son budget aux transports (soit 1,581 milliard d’euros, 438 millions de plus qu’en 2010), 16,5 % aux lycées (avec 761,47 millions) et 13,3 % à la formation professionnelle et à l’apprentissage (617 millions). Dans un même temps, elle entend mettre en œuvre le bouclier social dont ont besoin les Franciliens, en réponse à trois urgences : l’exigence de justice sociale, l’impératif écologique et l’ambition économique.

Justice sociale

Le budget logement augmente de près de 3 % par rapport à 2010 en autorisations de programme : il est porté à 271,2 millions d’euros dont 111,4 réservés à la réalisation de nouveaux logements locatifs très sociaux, sociaux et intermédiaires ; et 47,6 en faveur du logement des jeunes et étudiants. 

78,5 millions d’euros à la santé et à l’action sociale : ils permettront de financer des solutions d’hébergement pour les personnes les plus fragiles, l’aide à l’acquisition des mutuelles des étudiants, le pass contraception… Et pour encourager les étudiants en médecine ou formation sanitaire et sociale à exercer dans certaines zones du territoire sous-médicalisées, une aide « Réciprosanté » va être expérimentée avec le Département de Seine-et-Marne.

Pour accueillir au mieux les 500.000 lycéens franciliens, les crédits des lycées sont maintenus à un niveau très élevé : 761,47 millions d’euros. Cette enveloppe va notamment permettre à la Région de poursuivre son programme de rénovation des établissements existants et de lancer la construction de deux lycées et trois internats de proximité à Paris, à Savigny-le-Temple (77) et à Porcheville (78).

Le vivre ensemble :

le Fond régional de la vie associative augmente en 2011. En augmentant son budget Culture d’environ 4% (55,7 millions d’euros), la Région renouvelle son soutien sans faille au cinéma et à l’audiovisuel, au spectacle vivant, au livre et au patrimoine. Concernant le sport et les loisirs, la Région mettra en 2011 l’accent sur la construction ou la réhabilitation de terrains de grands jeux (football et rugby pour l’essentiel) en synthétique. Elle poursuivra également son action de lutte contre l’exclusion dans le domaine des loisirs et des vacances (Tickets loisirs, aide au départ en vacances).

L’urgence écologique

Elle concerne l’ensemble des politiques régionales. Les transports notamment répondent à la fois aux besoins de mobilité des Franciliens et à l’impératif de réduction écologique. Le budget environnement est maintenu - 115,1 millions d’euros en investissement et 34 millions d’euros en fonctionnement - mais réorienté au service des grandes priorités, en particulier la politique régionale de l’énergie, avec l’adoption d’un plan climat ambitieux et la création de SEM Energie. Cet opérateur pourra prendre en charge des travaux d'efficacité énergétique dans le parc de logements public comme privé, dont le coût sera remboursé par les économies d'énergie ensuite réalisées.

L’ambition économique

En cohérence avec les travaux de la Région sur la nouvelle Stratégie régionale de développement économique et d l’innovation (SRDEI) et de le Plan priorité PME, le budget du développement économique et de l’emploi augmente fortement en investissement. Il passe de 51,15 millions à 84,9 millions. Cet effort sans précédent permettra notamment à la Région d’abonder ses deux fonds de capital-investissement, IDF capital et Cap Décisif, et doter deux nouveaux outils de renforcement des fonds propres des PME. Cette enveloppe stimulera également l’économie sociale et solidaire, le tourisme et l’innovation.

Pour garantir le dynamisme des territoires, le budget consacré à la recherche (148,3 millions d’euros) consacrera un nouveau partenariat avec les pôles de recherche et d’enseignement supérieur, tout en continuant de soutenir les domaines d’intérêt majeur et les pôles de compétitivité. Quant à l’enseignement supérieur, la Région poursuit son soutien aux 600.000 étudiants, 70.000 chercheurs et 17 universités présentes sur le territoire. Elle maintient ses crédits de paiement à hauteur de 66,5 millions d’euros qui lui permettront notamment d’agir pour améliorer les conditions de vie et d’études des jeunes Franciliens. Trois maisons de l’étudiant seront par exemple financées en 2011 et un nouveau dispositif contre le décrochage universitaire verra le jour.

L’effort consacré à la formation professionnelle et l’apprentissage reste significatif : les crédits de paiement en fonctionnement augmente de près de 3 % et passent à 617 millions d’euros. Une attention sera particulièrement portée sur le financement de 50.000 parcours de continuité professionnelle et le développement des écoles de la deuxième chance.

" la vidéosurveillance " Sur libération.fr ...

«Etre contre la vidéosurveillance pour des raisons idéologiques, c'est du délire»

INTERVIEW par Quentin Girard

Abdelhak Kachouri, vice-président socialiste du conseil régional d'Ile de France décrypte le plan de vidéosurveillance pour Paris, qui vient d'entrer dans sa phase active.

Le «plan de vidéoprotection pour Paris», pour un coût de plus de 200 millions d’euros, vient d’entrer dans sa phase active,comme l’indique Le Figaro dans son édition de lundi. 13.000 caméras publiques et privées seront reliées à un même système d’enregistrement, auquel la police aura accès, voire l’Elysée. Voté il y a un an, il avait suscité la polémique dans le camp de la majorité parisienne et était passé grâce aux voix de la droite. Pourtant, il répond à une tendance générale, notamment en Ile-de-France, où les mairies de gauche ont depuis un moment déjà suivi le mouvement.

Abdelhak Kachouri, maire adjoint de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) et vice-président socialiste du conseil régional d'Ile-de-France en charge de la sécurité estime ainsi que c'est du «délire aujourd'hui» d'être contre la vidéosurveillance pour des raisons idéologiques.

Longtemps la vidéosurveillance a été un thème de droite, c’est encore le cas?

Mais en fait la gauche n’a jamais dit vraiment qu'elle était contre. Prenez l’exemple de Lille, qui est concret. Depuis 2001, depuis que Martine Aubry est maire, un dispositif moderne de vidéosurveillance a été installé dans les lieux clos et les transports en commun. On a été enfermé par la droite dans notre côté angélique et notre approche bisounours des problèmes des quartiers, mais ce n’est plus le cas. Il faut développer les systèmes de vidéosurveillance, mais ce n’est pas le seul aspect, évidemment. Il faut y mettre des travailleurs sociaux, et augmenter les effectifs de la police nationale. Tout ne va pas aller pour le mieux en un jour juste en mettant des caméras.

L’année dernière, à Paris, deux élus socialistes se sont abstenus et les Verts ont voté contre ce plan, pourquoi y-a-t-il des divisions sur ce sujet?

Je les invite à prendre leurs responsabilités, à aller dans la rue, et à rencontrer les vrais gens. Nous, à Saint-Ouen, on a 30.000 salariés qui passent chaque jour, il faut organiser leur sécurité. Mais il n’y a pas que certains élus de gauche qui sont contre, il y a aussi des élus de droite qui pinaillent.

Ils sont contre pour des raisons de coût ou pour des raisons idéologiques?

Ce n’est pas le coût la raison. Ils s’opposent à la vidéosurveillance pour des questions idéologiques, mais être contre pour ça, c’est du délire aujourd’hui. Quand vous retirez de l’argent, vous êtes filmés, quand vous prenez de l’essence, vous êtes filmés, quand vous allez sur l’autoroute, vous êtes filmés. On est déjà filmé toute la journée, développer le système de vidéosurveillance n’est pas une atteinte à la vie privée, aux droits à l’image, c’est du pipeau de dire ça. Ceux qui le disent se cachent derrière des grands principes au lieu d’être pragmatiques pour traiter les problèmes. Sur le terrain, les gens sont demandeurs, ça les rassure, et si c’est bien fait, ça peut être efficace.

Comment abordez-vous la question de la vidéo-surveillance à Saint-Ouen?

Pour l’instant, il n’y a pas de caméras. On est dans une reflexion politique assez importante, engagée depuis septembre 2008.  Au départ, nous pensions initialement installer la vidéosurveillance dans un quartier, la Place du 8 Mai 1945, mais nous avons la volonté aujourd’hui de l’étendre à d’autres points névralgiques, comme les puces de Saint-Ouen ou les entrées de la ville. Si j’étais à la place du maire, je validerais l’installation des caméras, avec la création d’un CSU, un centre de surveillance urbaine, à l’image des Mureaux dans le 78. C’est à dire qu’on n’enregistre pas mais qu’il y a des effectifs pour surveiller, en relation étroite avec les polices nationales et municipales (ndlr: à Paris, les bandes vidéos seront enregistrées avec le nouveau plan).

dimanche 12 décembre 2010

Émission consacrée à la sécurité dans les transports en Ile de France sur RTL

Je serai lundi 13 décembre 2010 à 8h30 sur RTL pour débattre avec les auditeurs sur la sécurité dans les transports franciliens... A suivre...

mercredi 1 décembre 2010

Carrousel des métiers d’art et de création : la Russie à l’honneur

Le Carrousel des métiers d’art et de création revient au Louvre à Paris du 1er au 5 décembre. Ce rendez-vous prestigieux, tant par son cadre que par l’excellence des artisans exposés, s’est imposé en 10 ans comme le plus important salon grand public des métiers d’art et de création de France.


Organisée par la Chambre régionale de métiers et de l’artisanat d’Île de France avec le soutien appuyé de la Région Île-de-France, cette biennale a attiré près de 80.000 visiteurs lors de sa dernière édition. Formidable tremplin pour valoriser les entreprises artisanales du secteur des métiers d’art et de la création, elle permet au grand public de découvrir des métiers nombreux et mal connus.

Cette année, le pays invité d’honneur est la Russie et la matière en vedette, l’or. Les 350 exposants présents au salon sont répartis en cinq grands secteurs : Or et métiers d’art, Créateurs, Décorer, Offrir, Plaire. Les visteurs pourront découvrir en expo-vente tant des bijoux, des accessoires de modes, du mobilier, des luminaires, du verre soufflé, des sculptures ou des céramiques.

L’événement permet d’admirer des œuvres de rêve dans des matières nobles ou précieuses et dont la technicité rivalise avec l’imagination créative. Il représente aussi une formidable opportunité pour découvrir des écoles et centres de formation dédiés. Les Maîtres d’art et les Meilleurs ouvriers de France ainsi que les entreprises du patrimoine vivant feront montre de leur talent autour de rencontres exceptionnelles ouvertes à tous. Le dynamisme de ce secteur s’illustrera également à travers le prix Vive la relève qui récompense de jeunes entreprises innovantes en les invitant gratuitement à exposer.


Ouvert à l’international, la présence de la Russie sera aussi l’occasion pour les professionnels d’échanger sur les savoir-faire d’un artisanat nourri de traditions et d’histoire depuis l’époque byzantine.

L’artisanat d’art est un secteur où l’Île-de-France a acquis une réputation d’excellence au niveau mondial avec plus de 5.000 professionnels. Consciente de cet atout économique, la Région qui finance l’organisation du Carrousel, soutient tout particulièrement les entreprises de l’artisanat en leur permettant d’avoir une vitrine inégalable.

Soutien en faveur de l’Iranienne Sakineh Mohammadi Ashtiani

Moi, Abdelhak KACHOURI,

Citoyen et militant associatif, féministe, laïque, engagé dans la lutte pour le droit des femmes, je me joins à la rotestation internationale contre la lapidation de l’Iranienne Sakineh Mohammadi Ashtiani.

Dès le 24 juillet une première manifestation a eu lieu devant l’Ambassade d’Iran à Paris en liaison avec le roupe “One Law for All” (1)de Grande Bretagne, et une lettre avait été adressée aux autorités judiciaires iraniennes.

Il est reproché à Sakineh Mohammadi Ashtiani d’avoir eu des relations sexuelles avec un homme ce qui lui a valu de recevoir 99 coups de fouet, en présence de son fils.

Les aveux publics arrachés à Sakineh devant les caméras de la télévision iranienne caractérisent les méthodes des pires dictatures. C’est une violence supplémentaire contre une femme désarmée et privée du soutien de son avocat qui a dû fuir le pays et dont la famille même est persécutée.
Aujourd’hui, ces mêmes autorités déclarent vouloir maintenir la mise à mort de cette mère de famille accusée de complicité de meurtre.

Le cas de Sakineh n’est que le reflet de celui des milliers de femmes qui souffrent au quotidien, victimes de l’obscurantisme.

Mener le combat sur des cas exemplaires comme celui de Sakineh, c’est aussi pointer du doigt les violences dont nous sommes aussi les témoins ici même en France. Nous nous sommes battues jusque dans l’enceinte même des Nations Unies contre le relativisme culturel : se battre contre l’obscurantisme ici, c’est aussi soutenir Sakineh, mais soutenir Sakineh impose aussi une position claire contre les intégrismes en France.

Les Nations-Unies doivent prendre leurs responsabilités et répondre à l’appel du fils de Sakineh.

Sa Commission sur la Condition des Femmes (Commission on the Statute of Women-CSW) ne peut sans se décrédibiliser (totalement) accepter la présence en son sein de la République Islamique d’Iran tant qu’elle n’aura pas aboli la lapidation.

Je compte sur ton soutien.

L'Île-de-France, puissance économique

Pour renforcer encore le dynamisme économique de l'Île-de-France, la Région entend muscler une économie diversifiée, compétitive et attractive.

L’Île-de-France n’a pas d’équivalent parmi les régions françaises. Ses grands partenaires, ses compétiteurs pour attirer les talents et les entreprises – ce sont parfois les mêmes –, ses références ou ses comparaisons se trouvent dans les autres grandes métropoles européennes ou mondiales.

En quelques chiffres

Quelques chiffres résument la puissance de l’économie francilienne : son PIB en valeur s’élève à 533 milliards d’euros, supérieur à ceux de la Suède ou de la Belgique. Elle représente à elle seule 29% du PIB national (environ 5% du PIB de l’Union européenne) et génère 5,4 millions d’emplois, dont 3,9 millions de salariés. Enfin, elle concentre près de 700.000 entreprises (62 % dans les services, 20 % dans le commerce, 8 % dans la construction, 5,5 % dans l’industrie, 3,5 % dans les transports et 1 % dans l’industrie agricole et alimentaire). des activités à haute valeur ajoutée et les sièges sociaux des principales entreprises françaises et étrangères.


Le schéma régional de développement économique

Afin de rendre plus visible la stratégie régionale, et mettre le progrès économique au service de l’emploi et du développement durable, la Région a adopté en 2006 son Schéma régional de développement économique (SRDE). Fruit d’une large concertation, ce document combine des préoccupations économiques, sociales et environnementales.


Soutenir la création d'entreprises

Avec près de 75.000 créations d'entreprises chaque année, l'Île-de-France reste l'une des Régions les plus attractives en Europe. Pour soutenir ce dynamisme, le conseil régional a mis en place de nombreux dispositifs pour accompagner la création, la reprise et le développement de jeunes entreprises innovantes.

L’aide régionale Cap entreprise s’adresse aux salariés et aux demandeurs d’emploi qui créent une entreprise, ainsi qu’aux dirigeants de jeunes entreprises. Elle associe diagnostic, formations individuelles ou collectives, conseil et suivi.

Les 39 pépinières d’entreprises franciliennes mises en place avec le concours de la Région, offrent aux créateurs d’entreprises un accompagnement, des conseils individualisés, des moyens logistiques et leurs facilitent l’accès aux organismes et manifestations professionnels.

Une gamme d’aides au financement destinées à accompagner les grandes étapes de la vie de l'entreprise, mise en place par la Région, avec de nombreux partenaires.

La Région joue désormais un rôle de « chef d’orchestre » dans la mise en place de partenariats publics-privés liés au développement économique du territoire. Elle accompagne également la requalification et l’extension de zones d’activités économiques (ZAE), uniquement avec un portage public actuellement, ainsi que les projets de développement économiques locaux (PDEL).


Pour les artisans et les agriculteurs

Pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises artisanales, la Région a mis en place un dispositif d’accompagnement complet couvrant leur mise en place, leur développement et leur transmission-reprise. Parmi les thèmes d’action : l’aide au maintien dans les franges ou en milieu rural, à l’innovation, aux démarches qualité, à la participation à des salons français ou étrangers…

Des aides particulières concernent également les agriculteurs. Les dispositifs régionaux favorisent la transmission-reprise d’entreprises, la modernisation, la diversification et la sécurité sanitaire. Certaines aides sont plus particulièrement destinées à la branche agroalimentaire.

AK VP

mardi 30 novembre 2010

Construire durablement en Île-de-France

En assurant un volume de production annuel de logements suffisant pour répondre aux besoins et aux évolutions démographiques, la Région entend également réduire les inégalités territoriales en développant la production de logements sociaux dans les communes déficitaires.

Des logements confortables et écologiques

La question de la qualité du logement est prépondérante dans l’objectif de faire de l’Île-de-France la première éco-région d’Europe.

La Région encourage l’amélioration des logements grâce à des critères d’éligibilité de ses financements qui incitent à soutenir la démarche Haute qualité environnementale (HQE). Celle-ci entraîne tous les acteurs du cadre de vie bâti à la recherche à la fois d’une meilleure qualité de vie et de la préservation de la planète. Elle répond aux deux grands défis de ce début du XXIème siècle : une aspiration croissante de chacun à plus de confort et de sécurité alliée à la maîtrise des ressources naturelles et d’énergie.

Depuis 2008, le label « Habitat et environnement » pour les immeubles neufs est requis pour toute aide régionale. Il s’agit d’abord d’améliorer la qualité du bâti, à travers la prise en compte de la réglementation thermique. Un bâtiment bien isolé, c’est autant d’économie d’énergie. Le recours aux énergies renouvelables (éolienne, solaire, géothermique, hydroélectrique, …), ou encore au bois issu de forêts certifiées est privilégié. Enfin, la mise en place d’une gestion durable de l’eau est encouragée: récupération des eaux de pluie, recyclage, toitures végétalisées …

Mieux vivre chez soi

Création de parcs à vélos et à poussettes, de locaux de poubelles pour le tri sélectif, mise en place d’antennes collectives uniques : l’habitat d’aujourd’hui doit être pratique. 5 % des logements neufs financés par la Région doivent également être adaptés à l’accueil des personnes à mobilité réduite ou handicapées.

Une technologie toujours plus présente

Les logements doivent être conçus pour développer l’accès de tous aux technologies de l’information et de la communication (TIC). Il s’agit de lutter contre la fracture numérique, en permettant de nombreux usages au-delà du « surf » sur Internet : surveillance et contrôle des accès, mise en réseau d’appareils domestiques, assistance aux personnes âgées, relation avec les services publics…

Le respect des normes de sécurité

La prévention des risques passe par l’établissement de diagnostics sécurité incendie gaz-électricité, et par la pose de détecteurs-avertisseurs de fumée.

Soutenir l’emploi et la filière du BTP

Les efforts demandés aux entreprises du bâtiment pour la mise en œuvre de ces politiques sont conséquents. La Région complète l’aide proposée par l’État pour faciliter l’insertion professionnelle dans la filière du bâtiment et des travaux publics (BTP), notamment l’insertion des apprentis. Pour faire face aux difficultés rencontrées dans le recrutement de personnels et la transmission des entreprises, les besoins de la filière du BTP sont intégrés au nouveau schéma régional de la formation tout au long de la vie.

vendredi 27 août 2010

COMMUNIQUE DE PRESSE : Soutien aux familles Roms de Saint-Ouen

Abdelhak KACHOURI, Maire-Adjoint de Saint-Ouen en charge de la sécurite et de la prévention, Vice président du Conseil Régional d'Ile-de-France ira soutenir les familles Roms hébergées dans le village d'insertion crée par la majorité municipale.

En écho à la grave politique de stigmatisation menée par le gouvernement, il réaffirmera sa solidarité et ses encouragements pour la réussite de leur insertion.

La visite se déroulera le lundi 30 aout 2010, 18h00, Rue de Clichy, 93 400 Saint-Ouen.

mercredi 25 août 2010

La République : Comment la préserver des dérives?

Café-Débat avec Abdelhak Kachouri, Maire-Adjoint, Vice-président du Conseil Régional d'Ile-de-France et en présence d'élu-e-s et de personnalités  du monde politique, culturel et citoyen.

Jeudi 16 septembre 2010 à 19h, au Galway,
61 avenue Michelet (face au franprix) à Saint-Ouen.

vendredi 13 août 2010

Venez découvrir le projet de prolongement de la ligne 11!

La ligne 11 du métro qui relie le centre de Paris (Châtelet) à la Mairie des Lilas (Seine-Saint-Denis) transporte actuellement 227.000 voyageurs par jour. Pour permettre de créer une liaison structurante entre l’est parisien et Paris, le prolongement de la ligne est envisagé jusqu’à Rosny-sous-Bois. Le projet fera l’objet d’une concertation publique du 6 septembre au 8 octobre, sous l’égide d’un garant, M. Jean-Pierre Tiffon. Un site Internet dédié est d’ores et déjà en ligne : http://www.prolongementligne11est.fr/

Objectifs et bénéfices, tracés étudiés, calendrier prévisionnel, acteurs et financements… le projet est détaillé sous tous les angles. Et l’ensemble des documents relatifs à la concertation sont proposés en téléchargement. Des avis et remarques pourront également y être déposés en ligne au lancement de la concertation.

Le projet :

Le prolongement de la ligne 11 envisagé relie la station Mairie des Lilas et la gare RER E de Rosny-Bois-Perrier. Cette extension d’environ 6 kilomètres dessert les communes des Lilas, Noisy-le-Sec, Montreuil, Romainville et Rosny-sous-Bois. Un territoire où de grands équipements (Hôpital Intercommunal, Rosny 2, Domus…) ne sont desservis aujourd’hui que par des lignes de bus.

Deux tracés sont à l’étude après un tronc commun entre Mairie des Lilas et la station Hôpital. Le premier est entièrement souterrain et comporte cinq stations. Le second comporte six stations et 580 mètres en viaduc. Les deux tracés ont une longueur similaire et portent la ligne à 12 kilomètres. Quel que soit le tracé, un nouvel atelier est à construire à Rosny-Bois-Perrier ou à Noisy-le-Sec. Toutes les nouvelles stations seront entièrement accessibles aux personnes à mobilité réduite et bénéficieront de deux entrées indépendantes.

Le prolongement pourrait être mis en service à l’horizon 2019. Le coût du projet est estimé à 820 millions d’euros pour les infrastructures et 140 millions pour le matériel roulant.

jeudi 12 août 2010

Un programme ambitieux pour le logement étudiant

Engagée dans une politique sociale du logement pour répondre aux besoins tous les publics, la Région travaille à l’élaboration de son schéma du logement étudiant qui sera finalisé à l’automne 2009.

Un programme ambitieux

Depuis 2004, la Région a  participé à la réalisation de 7.133 places (dont 852 sur le quota mis à disposition par les Foyers jeunes travailleurs). En concertation avec ses partenaires, les acteurs du logement et les associations étudiantes, la Région ambitionne de combler le déficit de logement en travaillant à la réalisation effective des 15.000 logements nécessaires.

Une politique globale


En 2010, la Région a attribué 13 millions d’euros pour le logement étudiant dont deux réservés à la réhabilitation de la cité universitaire d’Antony. Dans le même temps, la Région s’engage à plus long terme sur la construction de logements classiques en privilégiant une bonne desserte, la proximité du lieu d’étude, la qualité urbaine et environnementale.

Repenser le logement

Pour faire face à l'urgence, la Région réfléchit  également à expérimenter des procédés rapides et innovants pour faire face à l’urgence: construction de bois, container, mobil-home. Construits rapidement et écologiques, ces logements « innovants » s’inspirent d’expériences menées à Amsterdam ou au Havre. La cité universitaire d’Antony (92) qui compte 15% du parc francilien du Crous pourrait être un intéressant champ d’expérimentation de ce type de logement.

Faire cohabiter les générations

Développer la co-location intergénérationnelle ou entre étudiants à l’exemple des actions menées par l’association  Paris-Solidaire soutenue par la Région est également envisagé.

Héberger les jeunes travailleurs

Résidences sociales, foyer de jeunes travailleurs, la Région veille également à aider les jeunes entrant dans la vie professionnelle à trouver un logement. En 2009, elle a déjà atteint ses objectifs de créer 5.000 places supplémentaires. De plus grâce à l’action régionale 5% des logements (studios, petits deux pièces) du parc locatif social est mobilisé pour les jeunes de moins de 30 ans.
Une partie du parc des foyers des jeunes travailleurs est affecté également à des élèves des secteurs paramédical et travail social.
Pour aider les jeunes Franciliens à s’installer dans leurs premiers murs, une aide pour l’acquisition du premier mobilier pour les associations gestionnaires de résidences sociales pour jeunes travailleurs et apprentis a été créée en 2005.

mardi 10 août 2010

La Région continue d'investir dans les circulations douces.

Le développement des circulations douces en Île-de-France étant plus que jamais sa priorité, la Région consacre cette année, en plusieurs salves, non plus 15 mais quelque 17,9 millions d’euros à l’aménagement de nouvelles pistes cyclables ou de zones où la circulation est limitée à 30 km/h.

En juillet, elle a ainsi apporté son soutien à 11 chantiers devant être menés cet été, ainsi qu’aux études préalables portant sur un 12e projet. Les départements concernés à cette occasion sont au nombre de six : Seine-et-Marne, Yvelines, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Val-d’Oise.
Cinq projets font partie de contrats de réseaux verts, cadre propice aux liaisons dites d’intérêt local :

  • Fontainebleau (77). Aménagement de zones 30 et de doubles sens cyclables dans les rues des Bois, de la Coudre, Adam-Salomon et Dancourt (soit 945 m). De même que sur des voies reconnues d’intérêt régional car conduisant à des collèges et lycées : les rues Guérin, Saint-Merry et Félix-Herbet (soit 1.945 ml). En complément, création de places de stationnement vélos. Aide régionale : 24.803,60 €.
  • Vitry-sur-Seine (94). Aménagement d’itinéraires cyclables entre le parc des Lilas et le centre-ville, et entre le quartier du Coteau et le parc des Lilas, d’une zone 30 sur les voies du quartier de la Ferme, et de trois sentes dans le quartier du Coteau. Et création de places de stationnement vélos. Aide régionale : 379.971,30 €.
  • Saint-Fargeau-Ponthierry (77). Aménagement d’une voie verte sur le chemin de halage le long de la Seine entre la rue de la Libération et la rue de la Saussaie. Création d’une zone 30 avec double sens cyclable dans les rues de Tilly et du Château. Réalisation d’une piste cyclable bidirectionnelle de 2,50 m de large dans la rue de la Maison Rouge, entre la rue du Général Patton et le chemin rural de Tilly à Auxonette (670 m). Aide régionale : 494.526,40 €.
  • Noisy-le-Sec (93). Aménagement de la zone 30 Boissière, dans le quartier du même nom, dans les rues de la Chasse, de la Fontaine, de la place Saint-Martin, du Fond d’Orval, de l’Avenir et du 9 novembre 1989deuxième tranche d’un réseau vert. Aide régionale : 61.203,90 €.
  • Vallée de la Marne (94). Création de 1 305 m de promenade (voie verte) le long de la Marne à Nogent-sur-Marne depuis l’avenue de la Marne, au pied du square d‘Yverdon, jusqu’au port de plaisance de Nogent. Le tout incluant la réalisation d’un ouvrage spécifique, le « ponton sud », permettant la continuité de l’itinéraire vers l’ouest. Aide régionale : 560 449,00 €.

Sept projets, dont le dernier au stade d’études, portent, quant à eux, sur des liaisons d’intérêt régional (desserte d’établissements scolaires, de gares…) :

  • Fontenay-aux-Roses (92). Réaménagement de cinq rues à l’ouest de la RD 63 et au nord de la rue André-Neyts. Le tout afin de permettre la desserte du collège des Ormeaux. Aide régionale : 258.000,00 €.
  • Joinville-le-Pont (94). Création d’un itinéraire cyclable de 365 m dans la rue Jean-Mermoz, le long de la RD (ex RN 4). Aide régionale : 56.730,00 €.
  • Joinville-le-Pont (94). Création d’un itinéraire cyclable sur le quai Gabriel-Péri, le long de la Marne, via la transformation en zone 30 d’un linéaire de 320 m. Aide régionale : 76.800,00 €.
  • Taverny (95). Aménagement d’une piste cyclable bidirectionnelle de 2,50 m de large et longue de 850 m sur le boulevard du Temps des cerises, le long de la RD 502. aide régionale : 131.750,00 €.
  • Val Maubuée (77). Création d’un itinéraire cyclable de 2.930 m permettant de relier les gares de Torcy et d’Émerainville à Torcy et Noisiel. Aide régionale : 334.300,00 €.
  • Drocourt et Fontenay-Saint-Père (78). Création d’une piste cyclable bidirectionnelle de 2.700 m par sens, le long de la RD 983. Aide régionale : 80.750,00 €.
  • Alfortville, Créteil et Limeil-Brévannes (94). Étude pré-opérationnelle de faisabilité d’un véritable réseau cyclable sur voirie, complété par des places de stationnement vélos. Aide régionale : 45.000,00 €.
A noter que la Région publiera, en partenariat avec l'IAU, une nouvelle carte des pistes cyclables à la fin août.

samedi 31 juillet 2010

Améliorer l’accès à la formation et à l’emploi des jeunes

Lors de sa dernière Assemblée plénière, le conseil régional a adopté de nouvelles mesures pour favoriser l'insertion professionnelle des jeunes Franciliens.

Après avoir décidé de créer un "pass contraception" pour les lycéens et d’aider les étudiants boursiers à adhérer à une mutuelle santé, le conseil régional a adopté le 18 juin des mesures importantes pour les jeunes en insertion. Elles concernent tant leur mobilité que leur formation. Toutes ont un seul but : permettre aux jeunes en difficulté d’insertion professionnelle d’obtenir une qualification suffisante pour trouver un emploi. 

Le dispositif "Avenir Jeunes"

Depuis 2008, plus de 20.000 jeunes en insertion entrent chaque année en formation dans le cadre  du dispositif "Avenir Jeunes". Ils intègrent l’un des programmes régionaux préexistants : les parcours en Espaces Dynamique d’Insertion (EDI), les pôles de diagnostic et d’évaluation linguistique, les formations linguistiques et d’accès aux compétences de base, les parcours de mobilisation vers le projet professionnel, auxquels s’ajoutent les interventions des ateliers de pédagogie personnalisée.

Dans le cadre de la mise en place du service public régional, et pour permettre aux missions locales d’orienter plus facilement ces jeunes âgés de 16 à 25 ans, le dispositif va être simplifié. À partir de janvier 2011, il s’articulera uniquement autour de deux axes : les pôles de projet professionnel et les Espaces dynamiques insertion. Ces derniers, qui constituent une formule originale et unique en France d’accompagnement des jeunes en difficulté dans un processus d’insertion socioprofessionnelle, bénéficieront désormais d’une aide au projet annuel, sur étude du dossier.

Les Écoles de la 2e chance

Il existe huit Écoles de la 2e chance (E2C, un label national) en Ile-de-France, une par département. Elles s’adressent à des jeunes motivés, âgés de 18 à 25 ans (mais parfois jusqu’à 30 ans), sortis sans diplôme ni qualification du système scolaire, depuis plus de deux ans, et ayant déjà une expérience professionnelle souvent chaotique. Elles leur proposent de construire un projet professionnel individualisé, durant 6 à 12 mois selon le temps dont les élèves ont besoin pour acquérir les savoirs et les compétences nécessaires à leur insertion professionnelle. À la fin de son parcours, le jeune obtient un certificat qui indique son niveau de compétences et lui sert de passeport pour entrer dans la vie active. Pendant toute la durée de sa scolarité, il est rémunéré par la Région au titre de la formation professionnelle.

La Région consacre 6 millions d’euros en 2010, ce qui en fait le 1er financeur des E2C. Pour développer ces structures, elle a décidé avec ses partenaires d’accompagner le doublement de leur capacité d’accueil. L’objectif est de passé de 1.200 à 2.400 places en 2011.

De plus, face à la densité et au développement rapide du réseau des E2C  en Île-de-France, la Région souhaite intégrer ces structures au sein du service régional de formation. Et définir, dans un même temps, une identité francilienne.

Aider les jeunes à financer leur permis de conduire avec le soutien des missions locales

Parmi les plus de 170.000 jeunes Franciliens suivis par les missions locales en 2009, 62 % ne sont pas ou peu qualifiés, 70 % n’ont pas le permis de conduire. Or, posséder le permis B est une condition indispensable pour déccrocher certains emplois.

Étant donné le coût onéreux de l’apprentissage de la conduite (1.500 euros en moyenne), la Région a décidé d’apporter une aide financière, selon certaines conditions, aux projets de jeunes Franciliens de 16 à 25 ans suivis par une mission locale. Ce soutien financier pourra atteindre 600 euros, et dans un premier temps, sera apporté à l’issue d’un appel à projets expérimental auprès des missions locales. En 2010, avec un million d'euros inscrit au budget, cette mesure devrait concerner près de 1.670 jeunes.

Vers la gratuité des transports publics pour les jeunes en insertion

Actuellement, le dispositif des chèques mobilité, mis en œuvre par la Région avec un complément financier du Syndicat des transports d’Île-de-France (Stif), permet d’apporter chaque année un soutien aux déplacements de plus de 40.000 jeunes suivis par les missions locales. Ce chèque répond bien par sa nature à des déplacements ponctuels (entretiens d’embauche, visite médicale, démarche administrative, etc.) ou limités dans le temps mais ne permet pas l’accès à une formation sur plusieurs mois.

La Région souhaite que les transports ne soient pas un frein à l’accès à la formation des jeunes en insertion. Le financement et la mise en œuvre de la gratuité relevant du Stif, elle a mandaté Jean-Paul Huchon pour mener les discussions nécessaires au sein de cette organisation et en lien avec les conseils généraux franciliens.

Un enseignement supérieur moderne et efficace

Construire et moderniser des bibliothèques, développer l’offre de logements, aménager des pôles d’enseignement supérieur… Autant de missions que mène la Région pour proposer aux étudiants un enseignement supérieur de qualité.
Un potentiel francilien exceptionnel

L’Île-de-France est une des premières concentrations mondiales en matière d’enseignement supérieur, facteur clé de son développement économique et de son rayonnement. Dix-sept universités et un grand nombre d’écoles d’ingénieurs, de commerce, de gestion, d’art, de santé… accueillent plus de 600.000 étudiants, soit plus de deux fois plus qu’au début des années soixante-dix !

Cette évolution est une chance, mais beaucoup reste à faire afin d’améliorer l’accueil, les conditions de vie et le taux de réussite d’étudiants dont le nombre a pratiquement doublé en trente ans et dont les profils sociaux sont plus variés. Avec l’État, le conseil régional s’implique fortement pour l’enseignement supérieur, et lie fortement ce domaine à son action en matière de recherche et d’innovation.

Une priorité : l'accueil des étudiants

Des universités plus modernes

Dans le cadre du plan « Université du troisième millénaire » (U.3.M.), la Région s’est engagée à résorber les problèmes de vétusté et de manque d’espace dans certains établissements, notamment à Paris. De nouveaux pôles universitaires sont également créés, dont les futurs pôles Paris rive gauche, Villette / Aubervilliers / Plaine Saint-Denis et Val de Seine. Pour rendre plus cohérente l’offre de formation et favoriser les synergies, elle s’implique dans la réorganisation géographique des universités franciliennes.

Favoriser l’accès au savoir

Avec plus de 30% de l’offre documentaire nationale, l’Île-de-France dispose d’une richesse exceptionnelle qui doit être facilement consultable. La Région cofinance pour cela la création d’espaces de travail, d’accès aux services de documentation et informatise les bibliothèques. Région et État s’associent également pour doter les établissements de recherche et d’enseignement supérieur d’accès à Internet à très haut débit.

S'ouvrir au monde

L’ouverture à l’international devient un enjeu majeur de réussite et d’insertion. La Région attribue des bourses de mobilité internationale à des étudiants franciliens, dans le cadre du système « licence, master, doctorat » (L.M.D.). L’octroi de bourses régionales permet également l’accueil en Île-de-France d’étudiants issus des zones de coopération prioritaires de la Région.

Et la vie étudiante ?

La Région s’emploie également à améliorer constamment les conditions de vie étudiante en Île-de-France. Elle s’est ainsi engagée en décembre 2009 sur un schéma du logement étudiant. Fruit d'un travail partenarial (Etat, départements, rectorats, universités et organismes issus du monde étudiant), ce plan ambitionne de doubler en dix ans l'offre d'hébergement francilienne, en permettant chaque année la création de 2.000 places par la construction de résidences, des travaux de rénovation des sites existants (Antony, Cité U de Paris) et des aides ciblées pour les étudiants les plus fragiles.

Sur les campus, elle participe à la création d’espaces conviviaux d’information à leur intention et au développement des capacités d’accueil des restaurants universitaires. Les associations qui accompagnent la vie étudiante peuvent bénéficier du dispositif régional emplois-tremplin, qui offre des facilités d’embauche.

AK

Le nouveau CFA hôtellerie-restauration de Saint-Gratien (95) est désormais sûr de voir le jour

La Région s’étant engagée, ce 27 mai, à financer la première tranche du chantier, le nouveau CFA hôtellerie-restauration de Saint-Gratien (95) est désormais sûr de voir le jour. Projet porté par la Chambre de commerce et d’industrie de Versailles, il vise à réunir en un même lieu les cours d’hôtellerie-restauration des instituts de formation d’apprentis (IFA) d’Osny (95) et de Saint-Gratien (95).

Le tout dans des locaux permettant d’accueillir plus de 500 élèves supplémentaires. Le démarrage des travaux est envisagé au 1er trimestre 2011, une fois toutes les études nécessaires réalisées. Quant à l’ouverture prévue à la rentrée 2012.

Propriété de l’actuel gestionnaire du CFA de Saint-Gratien, la Chambre de commerce et d’industrie de Versailles (CCIV), le terrain sur lequel l’établissement sera bâti est situé entre le boulevard Pasteur et la rue d’Argenteuil. D’une surface de plus de 4.100 m², il permettra la construction d’un bâtiment abritant 2.160 m² de locaux d’enseignement général et professionnel (modulables et donc adaptables à l’évolution des formations et des technologie), et une multitude d’autres espaces : 205 m² de lieux de vie pour les apprentis, une salle de sport de 80 m², un centre de ressources de 200 m², une cafétéria de 150 m², un amphithéâtre et un hall d’entrée de 125 m²…
800 élèves au lieu d'à peine 300

De tels volumes permettront à ce nouvel établissement d’accueillir 800 élèves, au lieu d’à peine 300 aujourd’hui : ils sont en effet actuellement 104 à être inscrits dans les filières cuisine, restaurant et brasserie-café dans l’actuel IFA de Saint-Gratien (niveau CAP), et 263 à suivre les mêmes cours à l’IFA d’Osny (niveaux brevet professionnel et CAP).

Situé à 300 m de la gare RER C de Saint-Gratien, et donc facilement accessible en transports en commun, le nouveau CFA formera aux habituels métiers de la restauration (cuisinier, agent de restauration collective, employé de café, serveur de restauration, traiteur et organisateur de réception, sommelier, pâtissier et barman), et à ceux de l’hébergement (employé d’étages, employé de hall, agent polyvalent d’hôtellerie). Mail pas seulement : on prévoit en outre d’y proposer des formations complémentaires pour les agents polyvalents et les métiers de services à la personne.

Le coût total de l’opération se chiffre à 14,3 millions d’euros, dont 5 millions pour la première tranche, l’ensemble étant pris en charge à 50-50 par la Région et la CCIV.

La Région continue d'agir pour le logement

Le renouvellement du parc de logements sociaux se poursuit en Ile de France. Ce mois-ci, à Drancy, la construction d’un nouvel immeuble de quatre niveaux vient de s’achever après 19 mois de travaux, et les 28 logements qu’il abrite ont été inaugurés le 12 mai.

Situé à l'angle de l'avenue Henri Barbusse et de la rue de l'Espérance, la nouvelle résidence marque le renouveau du logement social dans la ville, dont la moitié date des années 1960. Fini les logements vétustes, inconfortables, déconnectés de la vie urbaine : l’immeuble de l’avenue Barbusse, à quelques minutes des transports en commun, bénéficie d’une grande qualité architecturale, et des labels Haute performance environnementale 2005 et habitat environnement profil A.

Le bâtiment, conçu par l'architecte Hugues Jirou, du cabinet Architectonia, intègre deux cages d’escalier distinctes, l’une située au 207, avenue Barbusse, l’autre au 60, rue de l’espérance. Deux niveaux de sous-sol permettent d’accéder aux 28 caves ainsi qu’au parking souterrain qui peut abriter 28 automobiles et 6 motocyclettes. Onze 4 pièces, dix 3 pièces et sept 2 pièces composent la résidence. Au rez-de-chaussée, un appartement a été conçu pour accueillir des personnes à mobilité réduite. Certains des logements du rez-de-chaussée disposent d’un petit jardin, et d’autres, situés dans les étages offrent un large balcon.

La construction de la résidence a été confiée par la Ville au bailleur social Immobilière 3F. Ce programme a été financé par un prêt locatif à usage social construction-démolition (Plus-CD) et a reçu le soutien de la Région et celui de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru). Ce financement permet de proposer des loyers mensuels compétitifs : par exemple, les locataires d’un 4 pièces de 97,25 m² paieront chaque mois environ 590 € (sans les charges).

La Région a attribué 584.295 euros à la société Immobilière 3F pour la réalisation de ces nouveaux logements.

mercredi 23 juin 2010

« Jeunes violences écoute » : une lutte au quotidien

La violence subie par les jeunes n’est pas une fatalité ! Lutter est un travail de chaque instant, dans lequel la Région s’est engagée depuis 2000. Avec une priorité : le soutien aux victimes.

Réalité aussi sournoise que destructrice, la violence faite aux jeunes connaît ces dernières années une escalade tant dans sa fréquence que dans la gravité des faits. Dans ce contexte, la lutte contre toutes les formes de violence à l'interieur et à l'extérieur de l’école est devenue une priorité pour la Région.

Et dès l’an 2000, son engagement s’est traduit par la mise en place d’un dispositif d’envergure. Nom de code ? « Jeunes violences écoute ». Mission ? Proposer, grâce à la mise en place d’une ligne téléphonique, écoute, accompagnement et conseils aux victimes de violence et à leur entourage.

Depuis bientôt huit ans, les équipes impliquées, soutenues par la Région, n’ont jamais baissé la garde : des actions dans les lycées sont régulièrement menées et un site Internet est venu compléter le dispositif. Enfin, la campagne de communication « La violence, si tu te tais, elle te tue » (lancée par la Région entre octobre 2006 et février 2007) a permis de (re)sensibiliser les Franciliens et d’augmenter significativement le nombre d’appels sur la ligne « Jeunes violences écoute » ainsi que les consultations du site Internet : + 59 % pour le numéro vert, et + 48 % sur le Web.

Pour traiter l’urgence, une plate-forme téléphonique

Briser la loi du silence en matière de violence à l’école : tel est donc l’objectif que s’est fixé la Région en mettant en place « Jeunes violences écoute » en février 2000. Au cœur du dispositif, un numéro d’appel anonyme et gratuit - 0800 20 22 23- qui s’adresse en priorité aux jeunes victimes de violence à l’école, mais aussi à l'extérieur, ainsi qu'aux parents et aux professionnels.

Au bout du fil, des professionnels qualifiés ayant une expérience dans les domaines socio-éducatif, psychologique, juridique et de la santé tendent une oreille attentive afin de permettre aux victimes d’exprimer leur souffrance et leur offrir soutien moral et réconfort psychologique.

Chaque appel donne lieu, en fonction de la situation décrite et de sa gravité, à des conseils personnalisés sur les démarches à engager ainsi que sur les structures de proximité susceptibles d’accompagner et d’aider les victimes, parents ou témoins : associations d’aide aux victimes, avocats, services médicaux, autorités compétentes pour déposer plainte…

Pour se rencontrer : des actions dans les lycées

Depuis 2005, le dispositif Jeunes Violences Ecoute permet aux lycées et CFA d’Île-de-France d’organiser des débats sur le thème de la violence.

L’objectif est de susciter chez les jeunes une réflexion autour de cette problématique.

Ainsi, sur demande de l’établissement, des professionnels de Jeunes Violences Ecoute interviennent - gratuitement - au sein de l’établissement. Des groupes n’excédant pas 25 élèves sont constitués et leur permettent de confronter leurs points de vue, d’échanger et de débattre de leur conception et/ou expérience de la violence.

L’équipe Jeunes Violences Ecoute jouant un rôle de médiation et évidemment le cas échéant d’information. L’année dernière 17 actions de ce type ont été menées dans toutes l’Ile-de-France.

Pour informer et échanger : un portail Internet


Début 2006, le site www.jeunesviolencesecoute.fr a vu le jour en complément de la plate-forme téléphonique. L’ambition est de proposer une information complète sur les différents types de violences subies par les jeunes, particulièrement à l'école, et d’inciter au partage et à l’échange autour de cette problématique. Décliné en trois espaces « Jeunes », « Parents » et « Professionnels », le portail recense un grand nombre de liens et d’actualités, et met à la disposition des internautes de nombreuses ressources sous forme de fiches autour des thèmes « Qu’est-ce que la violence ? » et « Comment réagir ? ».

Afin d’encourager les échanges d’expériences et d’idées, des forums de discussion sont également à la disposition des jeunes, parents et professionnels qui souhaitent dialoguer entre eux.

Enfin, des témoignages (anonymes) de jeunes ou adultes ayant pris contact avec la plate-forme téléphonique viennent nourrir la réflexion tout en démontrant à la fois la souffrance engendrée par la violence, et les solutions proposées…

AK VP

mercredi 2 juin 2010

Semaine du microcrédit dans six villes d'Île-de-France

Pour la 6e année consécutive, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) organise, du 1er au 5 juin, la Semaine du microcrédit.

Dans toute la France, et bien sûr en Île-de-France, dans des lieux publics très fréquentés, elle propose à cette occasion des forums conviviaux, destinés à informer tous ceux à qui cette forme de prêt est destinée : les allocataires du revenu de solidarité active (RSA) mais aussi les demandeurs d’emploi souhaitant créer leur propre mini-entreprise, mais qui ne peuvent compter pour cela sur l’aide des établissements bancaires classiques.



Animés par les permanents de l’Adie, ses bénévoles et des entrepreneurs que l’association a aidés par le passé, ces forums sont au nombre de 16 en Île-de-France. Et ils se déroulent dans six villes au total : Paris, Nanterre (92), Aubervilliers (93), Aulnay-sous-Bois (93), Montreuil (93) et Créteil (94).


Outre la possibilité de dialoguer avec des personnes ayant déjà créé leur entreprise grâce à un microcrédit, ces lieux de rencontres qui peuvent être un chapiteau ou encore un bus, permettent de déposer des projets de création d’entreprise et même (pour certains d’entre eux) d’ouvrir des dossiers de microcrédit (une réponse est ensuite envoyée sous trois jours).


L’Adie, qui a fêté ses 20 ans en 2009, a trois missions : accorder des microcrédits (de 500 à 5.500 euros), accompagner les créateurs de micro-entreprises avant et après la création de leur entreprise (pour en assurer la pérennité), et faire reconnaître le microcrédit par les décideurs politiques. Elle dispose de 130 antennes, de 370 permanents et de plus de 1.000 bénévoles aux compétences variées.


La Région aide l’association de trois façons : en abondant des fonds de prêts (en 2009, 1 million d’euros pour les prêts solidaires et 645.000 euros pour les prêts d’honneur) ; en soutenant la formation et l’accompagnement des bénéficiaires de prêts (520 euros par dossier dans la limite de 572.000 euros par an) ; et en finançant un dispositif de primes régionales géré par l’Adie (en 2009, 1924 primes pour un total de 3.753.000 euros).


Les forums
Paris

• Du 1er au 5 juin (11h-19h) : Joachim du Bellay à Châtelet-Les-Halles

• Du 2 au 4 juin (9h-18h) : parvis Mairie 18ème

• Du 2 au 4 juin (9h-18h) : parvis Mairie 20ème



Nanterre

• 1er juin (10h-17h) : chemin de l’Isle, boulevard de la Seine, devant le marché de la gare

• 2 juin (10h-17h) : marché Picasso, avenue Pablo-Picasso, à droite du marché

• 3 juin (10h-17h) : Petit Nanterre, avenue de la République, à droite du centre commercial des Muguets

• 4 juin (10h-17h) : esplanade Charles-de-Gaulle, rue des Trois Fontanot


Aubervilliers

• Du 1er au 3 juin (9h-18h) : parvis mairie d’Aubervilliers

• 4 juin (9h-18h) : fort d’Aubervilliers

• 5 juin (9h-17h) : fort d’Aubervilliers


Aulnay-sous-Bois

• 1er et 2 juin (10h-18h) : place Général de Gaulle

• 3 juin (10h-18h) : marché de la gare

• 4 juin (10h-17h) : marché de la Rose des vents


Montreuil

• 2 juin (9h-14h) : marché des Ruffins, boulevard Théophile-Sueur

• 4 juin (14h-18h) : colonel Fabien-Briand, rue du Colonel Fabien-Briand


Créteil

• Du 1er au 5 juin (9h-18h) : centre commercial Créteil Soleil

(AK VP IDF)

jeudi 27 mai 2010

Conseil National des Villes : Communiqué de presse de Jean-Paul HUCHON et Abdelhak KACHOURI


Une seule annonce : les banlieues attendront !
Après la mise en place du Conseil national des villes (CNV) par François Fillon, Jean-Paul Huchon, Président du Conseil régional d’Ile-de-France, et Abdelhak Kachouri vice-président en charge de la politique de la ville, notent avec inquiétude et colère que l’urgence sociale à laquelle est confrontée un nombre croissant de maires n’est pas une priorité pour ce gouvernement.

En repoussant à 2011 la énième réforme de la politique de la ville, le Premier Ministre traite par le mépris les maires des communes défavorisées qui appellent pourtant l’Etat à l’aide. Il refuse d’entendre l’angoisse de ces élus qui constatent tous les jours les signes d’une exaspération et d’une révolte qui monte des populations des quartiers en difficulté.


Plutôt que de tirer les enseignements de l’échec patent du plan Espoir banlieue, dû au manque de moyens mobilisés en faveur de l’éducation, du logement, de l’accès aux services publics, le gouvernement tente de gagner du temps. Ce sont les populations les plus défavorisées qui, une fois de plus, vont en pâtir.

Jean-Paul Huchon exige donc du gouvernement qu’il mette en place, au plus vite, le « fonds national de solidarité » demandé par l’association Ville et Banlieue, présidée par Claude Dilain. Ce fonds, qui fonctionnerait comme une mutuelle, permettrait au moins une véritable solidarité entre villes pauvres et riches.

Pour Abdelhak Kachouri, « Il est temps que le gouvernement passe aux actes. Nos quartiers ne peuvent plus attendre. Ce sont des jeunes diplômés, des jeunes sans emploi, des familles entières (…) qui attendent que l’Etat fasse son travail en se donnant les moyens d’une véritable égalité des chances sur tout le territoire. »

De son côté, la Région n’attend pas et agit pour la réduction des inégalités territoriales :

- à travers sa participation à l’Anru pour la réhabilitation de l’habitat (un milliard d’euros sur dix ans)

- au travers des contrats signés avec les Départements : plus le département est fragilisé, plus la région augmente son effort financier.

De même, la Région participe au désenclavement des banlieues en finançant 9 projets de tramways, et notamment le T4 qui va desservir Clichy-sous-Bois et Montfermeil (93). Son apport atteint 50% du coût du projet (150 millions d’euros).

La Région a initié le dispositif pour « l’Animation sociale des quartiers » classées en ZUS, avec des actions de prévention par le sport, la culture, …

Pour Jean-Paul Huchon, « le gouvernement prend une énorme responsabilité en refusant de faire de ce chantier une priorité. Désormais, les élus locaux, privés de ressources par une réforme inique des collectivités locales, savent qu’ils ne peuvent compter que sur une solidarité entre ville, départements et Région. »


Contact presse : Alexandre Gallet 01 53 85 78 65 / alexandre.gallet@iledefrance.fr

mardi 25 mai 2010

Une région qui agit pour la sécurité des Franciliens et des Franciliennes

Ermont : un nouveau commissariat en service


Plus spacieux et moderne que l’ancien, le nouvel hôtel de police inauguré ce 20 mai permet d’accueillir les Ermontois dans de meilleures conditions



Depuis le 11 mai, les fonctionnaires de police d’Ermont disposent de nouveaux locaux permettant d’améliorer tant leurs conditions de travail que l’accueil du public. Ce nouveau commissariat, situé à l’angle de rue Georges Pompidou et de la rue Richepin, est inauguré ce 20 mai en présence du vice-président régional Abdelhak Kachouri, la Région ayant financé 45 % de l’opération de construction conduite par la Communauté d’agglomération Val et Forêt.



La vétusté et le manque de praticité de l’ancien commissariat ont rendu la création de ce nouveau poste de police nécessaire. Le bâtiment situé rue ne correspondait plus à aucunes normes qu’il s’agisse de l’accueil du public ou des conditions de travail des agents. De plus, il était affecté par de graves dysfonctionnements notamment le manque d’étanchéité.



Avec plus de 2.500 m² de surface organisés sur trois niveaux dont un en sous-sol, le commissariat est désormais quatre fois plus grand que l’ancien. Un gain de place qui profite autant aux agents de police qu’aux citoyens : les enquêteurs par exemple travailleront chacun dans des bureaux individuels, ce qui améliorera la confidentialité des demandes des personnes. Celle des entretiens entre les citoyens en garde à vue et les avocats ou médecins sera aussi mieux préservée grâce à la création de locaux dédiés.



L’emplacement choisi pour édifier le nouveau commissariat permet une meilleure réactivité des policiers sur le territoire de Val-Forêt (six communes) puisqu’il occupe une place centrale sur le territoire, à proximité de l’autoroute A15. Il est en outre plus accessible aux citoyens grâce à un plus grand nombre de places de parking et une entrée conçue pour les personnes à mobilité réduite.



Une illustration de l'engagement de la Région en faveur de la sécurité



La Région a signé une convention avec les ministères de l’Intérieur et de la Défense pour l’implantation locale des forces de sécurité sur son territoire. Ce partenariat a déjà permis la construction ou réhabilitation de 34 commissariats ou gendarmeries entre 2007 et 2008 pour un montant global de 19 millions d’euros.



La Région a attribué 4.146.595 euros à la Communauté d’agglomération Val et Forêt.

lundi 24 mai 2010

Mestis Méditérranée Est OuestFestival Métis en Seine-Saint-Denis

Jusqu’au 4 juillet, le petit frère du festival de musique classique de Saint-Denis, propose un voyage musical sur les rives de la Méditerranée.

Après l’Italie en 2009, la 5e édition du festival Métis réunit cette année les cultures musicales et artistiques de la Méditerranée. Depuis le 1er avril et jusqu’au 4 juillet, 20 concerts sont organisés dans différents lieux du territoire de Plaine commune, en Seine-Saint-Denis. Au diapason : partage et métissage culturel avec des musiciens venant d’Istanbul, de Palestine, du Maroc, d’Israël, d’Algérie ou encore de Roumanie.

Cette volonté de brassage se traduit par la programmation de la trompette d’Ibrahim Maalouf accompagné au violon de Micheal Barenboïm, en passant par les polyphonies corses d’A Filetta. L’artiste Smadj, qui était déjà à l’affiche de l’édition 2003, est également mis à l’honneur. Il proposera notamment une création qui mêle culture arabo-andalouse, sons du Oud et électro, le tout magnifié par la voix envoûtante de Natacha Atlas.

De plus, Métis célèbrera notamment l’année 1610 avec une évocation de la Reine Margot revisitée par Goran Bregovic. Une création qui réunira chœur, voix soliste et musique orchestrale quatre cent ans après l’assassinat d’Henri IV.

lundi 17 mai 2010

Conférence consacrée aux jeunes victimes de l’homophobie

La Région accueille, ce 17 mai, Journée de lutte contre l’homophobie, tout un cycle d’échanges sur la vie en banlieue des jeunes gays et lesbiennes.

La Région participe à la Journée internationale de lutte contre l’homophobie, ce 17 mai, en accueillant, de 18h à 20h à l’hémicycle, une conférence sur la condition des jeunes homosexuel(le)s, bisexuel(e)s et transsexuel(e)s en banlieue aujourd’hui. Co-organisée par l’association Homos et bis d’Orsay (HBO) et l’Inter-associative Lesbienne, gay, bis et trans (LGBT), elle s’adresse aux associations principalement, mais est ouverte à tous sur inscription (voir Infos pratiques).

Le but de cet événement est de dresser un vaste état des lieux. Le tout, à partir des témoignages et des retours d’expériences d’associations œuvrant dans divers secteurs de l’Île-de-France. Il y sera question des sexualités différentes en banlieue, mais aussi dans l’univers étudiant, et bien sûr des manifestations de l’homophobie, de leur traitement et de leur prévention locale.

Parmi les personnes qui interviendront à cette occasion : Vincent Loiseau, de l’Inter-LGBT, Marc Noero, du Mouvement d’affirmation des jeunes gais, lesbiennes, bi et trans (il abordera les interventions en milieu scolaire), Nicolas Gougain, de la Mutuelle des étudiants (il évoquera la prévention de l’homophobie chez les jeunes en banlieue), ainsi qu’Élisabeth Ronzier, présidente de HBO.

Cette conférence s’inscrit dans le cadre du lancement de la Marche des fiertés

Lesbiennes, gays, bis, et trans du 26 juin prochain. Laquelle aura pour mot d'ordre : « Violences, discriminations : ASSEZ ! Liberté et égalité, partout et toujours ».

Vidéos de mon interview sur LFM

Il y a quelques jours, j'étais l'invité de l'émission "Face à L" sur LFM radio. Je vous propose de réécouter cette interview à travers les deux vidéos suivantes.


[Part.1] Abdelhak Kachouri dans Face à L sur LFM
envoyé par LFMRADIO. - L'actualité du moment en vidéo.


[Part.2] Abdelhak Kachouri dans Face à L sur LFM
envoyé par LFMRADIO. - L'info video en direct.

mercredi 7 avril 2010

Et maintenant, au travail!

Après notre belle victoire lors de ces élections régionales, il s'agit maintenant pour ceux d'entre nous qui ont été élus de nous mettre au travail pour réaliser le programme développé par Jean-Paul Huchon lors de cette campagne.

Le 26 mars j’ai été élu par l'assemblée régionale 12ème Vice Président en charge des questions de la politique de la ville, de la citoyenneté et de la sécurité. Ce sera l’occasion pour moi de poursuivre le travail que j’accomplis à Saint-Ouen depuis 2008 puisque je suis Adjoint au Maire en charge des questions de prévention et de sécurité.

mercredi 17 mars 2010

La gauche unie pour le second tour en Ile-de-France

Après le beau score réalisé par la liste Huchon 2010 en Ile-de-France, et en Seine-Saint-Denis où nous sommes arrivés en tête (27,92%), les négociations avec nos partenaires d'Europe Ecologie et du Front de Gauche ont abouties à un accord hier matin. Je vous invite à consulter la liste en Seine-Saint-Denis pour le second tour de ces élections régionales sur le site de campagne de Jean-Paul Huchon.

jeudi 11 mars 2010

Débat sur France 3

Samedi dernier, j'étais l'un des invités de l'émission "La voix est libre" sur France 3 pour un débat avec d'autres candidats d'Ile-de-France. Vous pouvez revoir l'émission ici

samedi 6 mars 2010

Visite à Noisy-le-Sec avec Jean-Paul Huchon

Le 26 février dernier, nous nous sommes rendus à Noisy-le-Sec avec Jean-Paul Huchon et plusieurs autres candidats pour y rencontrer les habitants. Voici un retour en images et en musique sur cette journée.

jeudi 4 mars 2010

Interview de Martine Aubry dans Paris Match

Je vous invite à lire l'interview de Martine Aubry parue aujourd'hui dans l'hebdomadaire "Paris Match". Elle y exprime son sentiment sur ces élections régionales et rappelle la nécessité pour les socialistes de continuer à agir collectivement.

Vous pouvez lire l'interview ici

lundi 1 mars 2010

Reportage sur la campagne dans "Le Parisien"

L'édition de la Seine-Saint-Denis du journal "Le Parisien" consacre aujourd'hui une double page aux campagnes des têtes de listes de notre département. Si vous ne l'avez pas lu, vous pouvez télécharger l'article au format PDF

jeudi 25 février 2010

Vidéo de mon interview sur TV est Parisien.

Cette semaine, j'ai été l'invité de la télévision de proximité "TVM est Parisien" pour parler de ma candidature, du bilan de Jean-Paul Huchon et de notre projet pour l'Ile-de-France.

Voici la vidéo de cette interview :


Abdelhak Kachouri sur TVM Est Parisien
envoyé par saint-ouen-socialiste. - L'info video en direct.

jeudi 18 février 2010

Avec Jean-Paul Huchon, nous voulons une santé pour tous!

Depuis 2002, le coût de la santé pour les ménages a pratiquement doublé. Les dépenses restantes à leur charge (cotisations, complémentaire santé et charge après remboursement) sont de plus en plus importantes. Selon une étude menée l'an passé, les dépenses de santé représenteraient actuellement 5,4% du revenu disponible des ménages. La politique de déremboursement menée par le gouvernement n'est pas étrangère à ce phénomène qui inquiète de plus en plus les français.

S'ajoute à cela plusieurs autres problèmes comme la répartition des praticiens sur le territoire ou l'état des urgences. Par ailleurs, certaines catégories de la population, dont les jeunes, éprouvent encore plus de difficultés dans l'accès aux soins de part leurs faibles revenus. Cette situation ne peut perdurer. S'il existe un domaine où les inégalités sont encore plus inacceptables, c'est bien dans l'accès aux soins!

mercredi 17 février 2010

La proposition du jour : instaurer la gratuité des transports en commun pour les jeunes en insertion

Je vous invite à retrouver, chaque jour d'ici la fin de la campagne, une nouvelle proposition pour les Franciliens sur Huchon2010.fr

Aujourd'hui, la proposition du jour est l'instauration de la gratuité des transports en commun pour les jeunes en insertion. Voici une courte vidéo de présentation de cette proposition :


1 jour 1 proposition : transports
envoyé par huchon2010. - L'info video en direct.

mardi 16 février 2010

Débat avec Bruno Beschizza sur La Chaine Parlementaire

Hier matin j'étais l'invité de l'émission "On les laisse entre eux" sur La Chaine Parlementaire pour débattre avec Bruno Beschizza, tête de liste de l'UMP en Seine-Saint-Denis. Le débat a principalement porté sur les questions de sécurité même si j'ai aussi souhaité mettre l'accent sur l'insécurité sociale que subissent beaucoup de français.

Si vous souhaiter voir ou revoir ce débat, c'est ici :


LCP Politique Matin - 15 Février 2010
envoyé par LCP-AN. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

jeudi 11 février 2010

Vidéo de mon passage sur France Inter hier soir

Hier soir, j'étais le "grand témoin" de l'émission "Les questions du mercredi" sur France Inter dont l'invité principal était Olivier Besancenot. Nous avons pu échanger sur plusieurs sujets dont la question d'Ilham Moussaïd candidate du NPA dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Si vous n'avez pas pu écouter l'émission, je vous invite à la regarder ici :



Questions du Mercredi : Olivier Besancenot
envoyé par franceinter. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

lundi 8 février 2010

Conférence de presse de présentation de la liste

Vendredi matin, nous étions réunis à la fédération du PS de Seine-Saint-Denis pour présenter notre liste pour cette élection régionale en Ile-de-France et répondre aux questions des journalistes.

Le Parisien a relayé cet événement. Vous pouvez lire l'article ici.

Si vous souhaiter connaitre l'ensemble des condidats socialistes en Seine-Saint-Denis, vous pouvez télécharger la liste au format pdf

Je vous propose aussi ce petit diaporama de cette conférences de presse avec les candidats :

Abdelhak Kachouri, un parcours "républicain"

Je vous invite à lire un article sur ma candidature écrit par Flora GENOUX sur le blog "RAMDAM EN REGION" qui suit ces élections régionales en Ile-de-France.

Vous pouvez le consulter à cette adresse : http://ramdamenregion.blog.lemonde.fr/2010/01/15/abdelhak-kachouri-un-parcours-republicain/

lundi 1 février 2010

Notre projet pour l'Ile-de-France

Jean-Paul Huchon vient de rendre public le projet que nous voulons porter en Ile-de-France dans les années à venir. Il fait la part belle à la démocratie, au vivre ensemble, à l'écologie, à la justice sociale, aux transports, à l'emploi et à l'innovation.

En attendant de l'avoir entre vos mains, je vous invite à le lire sur le site de la campagne ou à le télécharger au format PDF.