vendredi 29 août 2014

Par Claude Bartolone, Président de l'Assemblée nationale

A quelques heures du début de l’Université d’été du Parti Socialiste, Claude Bartolone a donné une interview au journal Libération que nous vous proposons de lire ci-dessous.

Ce samedi se déroule à Bruxelles un conseil européen important. Qu’en attendez-vous?

Après les élections européennes calamiteuses qu’a connues le continent et avec une nouvelle commission, nous entrons dans un nouveau temps européen. J’attends de nos dirigeants européens qu’ils prennent en compte cette morsure que constitue la montée de l’extrême droite. L’Europe de la paix construite par les pères fondateurs ne suffit plus. Les seuls débats de répartition de postes, ce n’est plus acceptable pour les peuples européens.

Que demandez-vous?

Que l’Europe se hisse au niveau de l’histoire. Il y a un risque de déflation. De Mario Draghi au FMI, tout le monde nous exhorte à ne pas freiner la croissance. La banque centrale européenne (BCE) doit être plus active. Le plan d’investissement annoncé est beaucoup trop flou. Il nous faut de nouvelles mesures contre le chômage des jeunes. Ce sommet ne doit pas être un sommet de boutiquiers. En Europe comme en France, la question, ce n’est pas le casting, c’est le scenario : quelle orientation pour quelle destination ?

Au-delà d’une suspension des règles européennes, faut-il aller jusqu’à une réouverture des traités?

Je n’écarte pas cette idée. Si l’on veut vraiment inscrire le projet européen dans la durée, il faudra bien renégocier les traités. Mais aujourd’hui, nous sommes dans le temps des politiques et des mesures d’urgence (contre le chômage des jeunes, pour la croissance, l’investissement et l’environnement), pas dans celui de l’institutionnel et des diplomates.

En avril 2013, vous aviez été très critiqué pour avoir osé parler de «confrontation» avec l’Allemagne. Pourquoi est-ce si compliqué de politiser ce débat?

Je crois qu’il y avait à ce moment-là un tabou. Il semble à présent levé. La confrontation politique est nécessaire avec – j’insiste – nos amis et indispensables partenaires allemands. Prenons la question démographique : nos voisins ont une population vieillissante qui privilégie la rente quand la France, dont la natalité est forte, a besoin d’investissements. Pour qu’un compromis naisse, chaque partie doit défendre sa vision et ses arguments.

N’est-il pas contradictoire de demander plus d’investissements à l’Europe et dans le même temps pratiquer en France une politique de rigueur?

Pour être exemplaires vis-à-vis de nos voisins, nous devons accélérer la modernisation de notre appareil productif et de notre protection sociale. Mais pour cela, l’Europe ne doit pas faire rouler le tapis en sens inverse! L’Allemagne doit être consciente que si ses voisins sont ruinés, plus personne n’achètera ses produits. Lorsque j’ai dit non aux 3%, ce n’était pas pour laisser filer la dette et les déficits mais pour laisser le temps à la France de se reconstruire, de se réformer. Mais je crois que ce débat est déjà derrière nous : qui conteste aujourd’hui que les 3% sont absurdes et intenables ?

Manuel Valls a-t-il raison de miser autant sur un Medef qui ne joue pas le jeu des contreparties?

L’entreprise est un bien commun, je le disais déjà il y a un an… à Frangy ! Mais les chefs d’entreprises doivent prendre eux aussi leurs responsabilités dans la reconstruction du pays et ne pas jouer les « monsieur plus ». C’est une question de morale et de confiance.

Enlever 11 milliards d’aides aux collectivités locales, n’est-ce pas prendre aussi le risque de casser l’investissement?

Il est possible de trouver un accord. Il y a beaucoup d’économies de fonctionnement à demander, en particulier aux blocs communal et intercommunal. Mais il serait dangereux d’asphyxier la capacité d’investissements des collectivités. Ce serait plomber nos entreprises locales et donc l’emploi. Je demande que l’on soit attentif à nos compatriotes vivant dans les zones rurales et dans les quartiers populaires, comme par exemple en Seine-Saint-Denis.

Quel regard portez-vous sur ce changement de gouvernement?

J’ai beaucoup de respect pour l’action qui a été celle de Benoît Hamon et j’ai une vraie complicité amicale avec Arnaud Montebourg. Mais leur attitude à Frangy-en-Bresse a été un mauvais coup porté au pays et à la gauche. Je ne comprends pas. Ils ont fait le choix de rester au gouvernement après l’annonce du pacte de responsabilité, et ils en sortent au moment même où l’inflexion que nous étions quelques-uns à réclamer s’opère… Maintenant, j’attends des décisions fortes et rapides sur l’emploi des jeunes, la préservation des services publics et les grands investissements d’avenir, singulièrement pour les transports en Ile-de-France.

La gauche peut-elle toucher aux 35 heures?

Non. La gauche perd en crédibilité quand elle détricote une partie de ce qu’elle est et de ce qu’elle a construit par le passé. Comme socialiste, je suis attaché à certains principes. On ne touche pas aux totems du progrès social. A fortiori quand les salariés risquent interpréter ces propositions comme un effort supplémentaire qui leur est réclamé sans contrepartie de la part du monde de l’entreprise.

Craignez-vous pour la majorité à l’Assemblée?

Devant les Français et au nom de la gauche, nous avons un devoir de responsabilité et de « sens de l’Etat ». Je ne crois pas à l’accident législatif. Chacun mesure que l’on n’a pas le droit de contribuer à un nouveau 21 avril, voire de donner les clés de la République à l’extrême-droite. Ni aujourd’hui ni demain, quand on sait que le ticket d’entrée au second tour de la présidentielle sera autour de 22 à 25%… Les socialistes et la gauche dans son ensemble sont dans la nécessité absolue de se rassembler.

Beaucoup y voient le signe d’une Ve République à bout de souffle…

Nous devons mettre nos institutions en cohérence avec le quinquennat, l’inversion du calendrier et le non-cumul des mandats. Ce débat est devant nous, et j’y prendrai prochainement toute ma place.

jeudi 28 août 2014

Soutien absolu à mon amie Najat Vallaud-Belkacem, Ministre de l'Education nationale

Texte de la pétition à partager autour de vous.

"Accusée par les réactionnaires de tout poil d’avoir osé promouvoir l’ABCD de l’égalité, qui portait la très nécessaire question de l’égalité entre les hommes et les femmes, Najat Vallaud-Belkacem concentre sur son nom un degré d’acharnement verbal qui pourrait surprendre au premier abord.
 
Mais ne nous y trompons pas : Najat Vallaud-Belkacem est une cible idéale pour tous ceux qui veulent distiller l’idée qu’une femme d’origine immigrée ne saurait avoir légitimement sa place au sein d’un Gouvernement.
 
Il est particulièrement inquiétant que des responsables politiques se présentant comme appartenant à la droite républicaine puissent entretenir, voire susciter, cette dynamique contraire aux idéaux sur lesquels notre pays est fondé.
 
Les procès en illégitimité, en incompétence, en extranéité, en dangerosité ne semblent en effet jamais mieux se déployer (comme l’illustrent les précédents de Rachida Dati ou de Christiane Taubira) que lorsqu’il s’agit de faire passer cette idée aussi violente qu’immorale : il existe des parties du genre humain qui ne sauraient accéder aux responsabilités dans un pays.
 
Nous, citoyens conscients de vivre en 2014 et non plus au 19ème siècle, exprimons pour notre part cette idée simple et salutaire : nous n’admettons pas qu’être femme et/ou coloré soit une source de disqualification sociale et politique."

Signez ici : 

contreleracismeetlesexisme.wesign.it

mercredi 27 août 2014

Dézonage estival du Pass Navigo en Ile-de-France : succès confirmé !

Pour la deuxième année du 12 juillet au 17 août dernier, les détenteurs de forfaits Navigo annuel et mensuel ont pu circuler sur l’ensemble du réseau de transport francilien, y compris au-delà des zones de validité de leur forfait.
 
Les forfaits zones 1-5, non concernés par le dézonage, ont bénéficié d’un effort financier particulier de la part du STIF, avec une réduction de 7,5 % pour les mois de juillet et août.
 
Cette action a véritablement rencontré son public : 670 000 Franciliens ont pu en bénéficier en utilisant au moins une fois le dézonage pendant ces 5 semaines, soit une augmentation de 10 % par rapport à l’an passé. 

Cette mesure permet notamment aux Franciliennes et Franciliens qui ne peuvent malheureusement pas partir en vacances de circuler à moindre coût, pour eux mais aussi pour l’environnement, dans toute la région  explique Pierre Serne, Vice-président de la Région Île-de-France chargé des transports et des mobilités.
 
Pour Jean-Paul Huchon, Président de la Région Île-de-France et Président du Conseil du STIF : « Avec le pass unique, l’été soulage le portefeuille de celles et ceux qui ne peuvent partir en vacances. En cette période difficile sur le plan économique et social, le dézonage est une mesure de pouvoir d’achat qui a toute son importance. »

mardi 26 août 2014

Composition du gouvernement, voici la liste

  • Manuel Valls, Premier ministre
  • Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du développement international
  • Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, du développement durable et de l'énergie
  • Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche
  • Christiane Taubira, Garde des sceaux, ministre de la Justice
  • Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics
  • Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense
  • Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
  • François Rebsamen, ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social
  • Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur
  • Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'agroalimentaire, de la foret et porte-parole du gouvernement
  • Emmanuel Macron, ministre de l'Economie, de l'industrie et du numérique
  • Sylvia Pinel, ministre du Logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité
  • Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la fonction publique
  • Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la communcation
  • Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la jeunesse et des sports
  • George Pau-Langenvin, ministre des Outre-mer
  • Jean-marie Le Guen, secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le parlement
  • Thierry Mandon, secrétaire d'Etat chargé de la Réforme de l'Etat et de la simplification
  • Harlem Désir, secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes
  • Annick Girardin, secrétaire d'Etat chargée du développement et de la francophinie
  • Thomas Thévenoud, secrétaire d'Etat chargé du commerce extérieur de la promotion du tourisme et des Français de l'étranger
  • Alain Vidalies, secrétaire d'Etat chargé chargé des transports, de la mer et de la pêche
  • Geneviève Fioraso, secrétaire d'Etat chargé de l'Enseignement supérieur et de la recherche
  • Christian Eckert, secrétaire d'Etat chargé du budget
  • Kader Arif, secrétaire d'Etat chargé des Anciens combattants et de la mémoire
  • Laurence Rossignol, secrétaire d'Etat chargée de la Famille, des personnes ages et de l'autonomie
  • Ségolène Neuville, secrétaire d'Etat chargé des Personnes handicapées et de la lutte contre exclusion
  • Pascale Boistard, secrétaire d'Etat chargée des Droitrs des femmes
  • Carole Delga, secrétaire d'Etat chargée du Commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'Economie sociale et solidaire
  • Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat chargée du numérique
  • André Vallini, secrétaire d'Etat chargé de la reforme territoraile
  • Myriam el Khomri, secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la ville
  • Thierry Braillard, secrétaire d'Etat chargé des Sports

Communiqué de presse de Jean-Paul HUCHON et Henriette ZOUGHEBI

A quand une opposition compétente en Région Ile-de-France ?

Jean-Paul HUCHON, Président du Conseil régional et Henriette ZOUGHEBI, Vice-présidente en charge des lycées, tiennent à réagir aux contre-vérités de Valérie PECRESSE concernant les lycées en Ile-de-France, qui démontrent au mieux sa méconnaissance du fonctionnement et des règles du budget régional. Dès cette rentrée sera mise en place une réforme ambitieuse de la restauration scolaire et un nouveau lycée ainsi que deux lycées totalement rénovés seront inaugurés la semaine prochaine. Le prétendu « internat fantôme » de Raspail (internat Guillaume TIREL) ouvrira pour sa part à la fin de l’année 2014.
 
Aussi, entre 2009 et 2013, les investissements en faveur des lycées ont augmenté de plus de 20%, passant de 350 M€ à 424 M€. Cette augmentation vise notamment à porter le programme d’investissement (PPI) 2012-2022, feuille de route de la majorité régionale en matière de rénovation / construction qui a recueilli le plein accord des communautés scolaires. Le PPI adapte notamment le précédent programme datant de 2006 au regard des évolutions démographiques et des besoins pédagogiques réels en Ile-de-France, ce dont Valérie PECRESSE ne semble pas avoir connaissance eu égard à ses déclarations à la presse.
En outre, depuis 2012, la Région a mis un coup d’accélérateur pour couvrir ses besoins en matière d’internats : elle a ainsi obtenu que l’Etat finance un quart des investissements nécessaires au financement de 3 000 places inscrites au PPI (120 M€ financements Région, 40 M€ financements Etat). Parallèlement, la Région a redoublé d’efforts en matière de politiques éducatives et de soutien à la vie lycéenne (mobilité internationale, soutien aux lycées en dotation de solidarité, politique de lutte contre le décrochage, projets et démocratie lycéenne…) : entre 2010 et 2014, le budget régional (hors personnel) est ainsi passé de 213 M€ à 249 M€ soit 17% d’augmentation.
 
Enfin, la tentative de Valérie PECRESSE d’opposer le financement des associations et les investissements dans les lycées montre qu’elle mélange absolument tout : le fonctionnement des lycées privés (61 M€ en 2013) ainsi que la formation professionnelle et les centre de formation pour apprentis (150 M€ en 2013) relèvent notamment des financements consacrés aux associations. 

Déclaration du PS

Le Parti socialiste prend acte de la décision du Président de la République de renommer Manuel Valls.

Il forme le vœu que la composition de ce nouveau gouvernement soit l’occasion d’un rassemblement, d’un élargissement et d’une cohésion pour la deuxième phase du quinquennat qui doit être celui de l’investissement et de la lutte contre la déflation qui vient en Europe !


lundi 25 août 2014

L'heure du choix, par Claude Bartolone, Président de l'Assemblée Nationale

Suite aux propos de deux ministres, le chef du gouvernement a remis sa démission au Président de la République, qui l’a acceptée. Mais la situation ne saurait se résumer à une question de casting.
Nous sommes à une charnière de l’Histoire qui mérite mieux qu’une ambiance de congrès permanent. Il y a des doutes sur l’influence de la France et la place des Français dans le nouveau monde ; il y a une incompréhension devant la fuite en avant de l’Europe qui connait une panne de croissance et un risque de déflation avéré ; il y a une angoisse quant au risque de dilution de la Nation dans une mondialisation mal maitrisée.

Face à cela, la majorité a une responsabilité colossale. Chacun a le droit de s’interroger, parce que nul ne détient la vérité révélée. C’est même un devoir, et je l’ai fait en son temps quand il s’agissait de dénoncer la dérive européenne et la règle des 3% de déficit. Mais cela doit se faire dans la responsabilité, la mesure et le respect des institutions.

C’est l’heure du choix.

L’enjeu n’est plus aujourd’hui de définir une ligne politique, mais d’aider le Président de la République à obtenir gain de cause en Europe pour défendre des politiques de croissance contre le dogme de l’austérité. L’aider aussi à gagner le pari du redressement économique et de l’emploi des Français, en soutenant son Premier ministre en charge de mettre en œuvre cette politique.
Nous n’avons droit ni à la division ni à l’échec. Car la situation politique est inédite. Avec une opposition inerte et une extrême-droite qui engrange en silence, ce qui guette, c’est la perspective d’un 21 avril bis. Peut-être même d’un 21 avril en pire.

Il y a nécessité et urgence à se rassembler pour tenir compte de cela. Cette question se pose aux Socialistes, mais aussi à la gauche, aux écologistes et à tous les Républicains qui placent l’intérêt général au-dessus de tout.

Voilà deux ans que je le martèle, la mission historique de cette majorité est d’installer la stabilité et la confiance. Plus que jamais, telle doit être la matrice de cette rentrée.

Gage à chacun d’y être attentif.

Infos sur  www.claudebartolone.net

mercredi 20 août 2014

Conférence de presse de rentrée du Président de la Région Île-de-Franceet de l'exécutif

Jean-Paul Huchon, Président de la Région Ile-de-France et les membres de l’exécutif régional vous invitent à la conférence de presse de rentrée le : 

mercredi 27 août à 11 heures

Conseil régional d’Ile-de-France

Salle Pierre-Charles Krieg (Rez-de-jardin)

33, rue Barbet de Jouy 75007 Paris.

Accréditation obligatoire : servicepresse@iledefrance.fr

Contact presse : 01 53 85 66 45 - servicepresse@iledefrance.fr 

lundi 18 août 2014

Irak : la France au rendez-vous de ses responsabilités

*Communiqué du Parti socialiste*

Le Parti socialiste salue l’annonce par le président de la République, François HOLLANDE, d’envoi d’armes afin de répondre aux besoins urgents exprimés par les autorités régionales du Kurdistan.

Cette décision forte de la France intervient après l’organisation de premiers convois humanitaires qui devraient se poursuivre, sous la responsabilité du ministre des Affaires Etrangères, Laurent FABIUS.

Face à la situation dramatique dans laquelle est plongée la Région du kurdistan irakien, la France est au rendez-vous de ses responsabilités.

Le Parti socialiste réitère sa demande d’une mobilisation et d’une coordination de la communauté internationale et de l’Union européenne, permettant de venir en aide aux populations civiles et de combattre les forces djihadistes de l’Etat islamique en Irak.

mercredi 13 août 2014

Un scientifique francilien récompensé pour ses travaux de recherche en mathématiques

La qualité de la recherche francilienne a encore une fois été mise à l’honneur aujourd’hui lors de l'ouverture du Congrès de l'Union Mathématique Internationale à Séoul avec l'attribution de la Médaille Fields au mathématicien franco-brésilien, Arthur Avila, directeur de recherche au CNRS.

« Nous sommes fiers car cette distinction récompense un scientifique francilien pour ses travaux exceptionnels sur la théorie des systèmes dynamiques qu'il mène actuellement au CNRS et au sein de l'Université Paris Diderot. 

Ce prix prestigieux témoigne du dynamisme et de la vitalité de la recherche en Ile-de-France que nous sommes heureux de soutenir et d’encourager depuis de nombreuses années » se réjouissent Jean-Paul Huchon, Président de la Région Ile-de-France et Isabelle This Saint-Jean, Vice-présidente en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche.

mercredi 6 août 2014

Inquiétude et surprise du Parti socialiste suite à l'article de presse dans le Canard enchainé sur Alain Soral

Le Parti socialiste apprend avec surprise et inquiétude par le journal le Canard enchainé du mercredi 6 août que Alain Soral organise via son site "égalité et réconciliation" des stages dont la nature belliqueuse ne fait aucun doute. 

Le Parti socialiste s'émeut de voir ce mouvement idéologiquement violent et politiquement d'extrême droite organiser des stages d'entrainement dans la forêt de fontainebleau sous prétexte de "retour à la nature". 

Le Parti socialiste appelle les pouvoirs publics à la plus grande vigilance.