samedi 17 octobre 2020

Un soldat de la République.

Un soldat de la République. Un hussard. 

Un homme attaché à la liberté d’expression aussi profondément qu’il le fut pour l’éducation nationale et pour ces milliers de jeunes en quête de savoir. 

Il était un enseignant respectueux et engagé pour élever ses élèves surtout les plus fragiles en leur donnant les outils pour s’engager dans la vie. Il l’a payé au prix fort. 

Un de plus qui tombe sauvagement assassiné par l’idéologie abjecte qui ôte la vie pour des mots, pour un idéal de liberté auquel nous tenons. 

Encore une tombe à fleurir. 

Des larmes d’incompréhension, de douleur et de colère. Hier, c’est une nouvelle victime de l’islamisme radical qui vient ainsi gonfler le décompte macabre. 

Nous ne sommes pas à Kaboul ni à Damas, mais dans le Val d’Oise, dans la Région capitale. 

Aujourd’hui, c’est un énième ras le bol et une détermination sans faille contre ces barbares qui ne triompheront jamais. 

Condoléances à sa famille.