Il en est des 31 décembre ou le nombre d'incidents viennent émailler la douceur d'un changement d'année, la sérénité de voir 365 jours se terminer en misant sur les 365 prochains avec des souhaits de réussite, de bonheur et d'une bonne santé.
Oui, mais.
Oui, mais le 31 décembre c'est aussi des voitures qui brûlent, au nom de je ne sais quelle aberration, de je ne sais quelle imbécilité qui viendrait "légitimer" une certaine idée de la contestation.
Il s'agit bien d'actes criminels condamnables, qui laissent trop souvent des familles victimes de l'imbécilité de quelques uns dans la difficulté car les polices d'assurances contractées par celles-ci ne prennent pas en charge les incendies...faute de moyens.
Pour ce 31, au delà du dispositif important mis en place par le Ministre de l'Intérieur, il s'agira aussi de faire preuve d'une transparence quant à la communication des chiffres relatifs aux voitures brûlées.
Une première, assumée par le gouvernement.
Il s'agira aussi, d'analyser ce phénomène avec pragmatisme pour mieux préparer les prochaines années.
Réussir la sécurité publique, c'est être en mesure de comprendre les phénomènes qui amènent à ce type de situation pour mieux les traiter avec des réponses adaptées.